L’auriculothérapie

A propos

L’auriculothérapie,
qu’est-ce que c’est ?

reflexologie auriculaire - auriculothérapie - Valognes

La réflexologie auriculaire, plus communément appelée auriculothérapie sans aiguille est une technique qui consiste à appliquer des pressions sur des points précis de l’oreille dans le but d’aider le corps à retrouver naturellement son équilibre et ainsi de soulager certains maux ou troubles.

L’ensemble du corps est représenté sur le pavillon de l’oreille, la stimulation mécanique ou électrique fréquentielle de celle-ci va ainsi permettre d’envoyer une demande de régulation du corps tel un tableau de bord​.

L’auriculothérapie, aussi appelée acupuncture auriculaire, a été développée en 1951 par le Dr Paul Nogier, médecin français homéopathe et acupuncteur. Ses recherches lui ont permis d’établir une cartographie de la localisation des points réflexes. C’est en 1990 que l’auriculothérapie fût reconnue par l’OMS comme discipline thérapeutique à part entière. 

L’auriculothérapie, quels sont les bienfaits?

Auriculothérapie à Valognes

La réflexologie auriculaire est efficace pour rééquilibrer les troubles fonctionnels aigus ou chroniques, émotionnels et les addictions. Ainsi, elle est idéale dans l’accompagnement de nombreux dérèglements : 

✔ douleurs diverses aigües ou chroniques
✔ ostéo-articulaire
✔ tendino-musculaire
✔ digestif
✔ troubles du goût et de l’odorat
✔ uro-génital
✔ psycho-émotionnels
✔ dépendance-addiction (tabac, sucre)
✔ troubles de l’apprentissage
✔ troubles posturaux

La réflexologie auriculaire s’associe parfaitement à un suivi thérapeutique en  ostéopathie, kinésithérapie, orthodontie, psychologie, etc.

La réflexologie auriculaire n’est pas adaptée aux femmes enceintes

Conformément à la loi, la pratique de la réflexothérapie/réflexologie ne peut être en aucun cas assimilée à des soins médicaux ou de kinésithérapie, mais à une technique de bien-être par la relaxation physique et la détente libératrice de stress. Loi du 30.04.1946, décret 60669 de l’article l.489 et de l’arrêté du 8.10.1996

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